En passant du côté de la voie ferrée entre Clark et Saint Laurent, une Gertrude radioactive a décidé de tisser sa toile. Faisant fi des urbanités sauvages qui l’entourent, elle a choisi sa place, bien au creux d’un arbre, vestige d’une ancienne terre végétalisée, aujourd’hui coincée entre friches industrielles, grillages, détritus et humains en manque de pourrir leur territoire…
Wouahhhh, c’est époustouflant !!! J’adore cette idée et Gertrude est somme toute bien sympa avec se petite crête 😉
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Merci !! J’ai eu une fois une araignée qui est restée pendant un long moment à mes côtés, baptisée Gertrude donc c’était l’occasion de lui rendre hommage en grand 🙂
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