Sur les bords du canal Lachine, se produit un étrange amerrissage. Une soucoupe égarée vient s’agglutiner sous un pont. À son bord un personnage peu volubile, distrait certainement par ces compagnons de routes observe le reste de l’été. Ces marmottes cyclopéennes entourent leur précieux camarade, ne souffrant d’aucunes velléités.
Combien de temps encore prétendons-nous ignorer la réalité des mutations en cours ? Pendant que les bestioles opèrent en toute impunité, nous passons éphémères et absents….. sourds aux bouleversements de ce monde.